A l’issue des délibérations du Grand Procès de la RSE organisé par l’agence toulousaine Icom en décembre 2015, le Président du tribunal de cette conférence gesticulée mettant en scène une simulation, avait renvoyé en appel l’accusée pour défaut de preuves et de témoignages suffisants.
Au cours de son procès en appel ce jeudi 13 octobre à l’Institut Catholique de Toulouse, la RSE a dû répondre à deux chefs d’accusation en présence de 200 jurés : La RSE était accusée de détourner l’entreprise de son véritable objectif : la création de valeur(s). Et seconde accusation : de ne pas être un levier suffisamment fort pour soutenir la transformation de l’entreprise et de la société.
A l’issue des délibérations, le Tribunal a déclaré la RSE à l’unanimité du jury non coupable et l’a relaxée sur le premier chef d’accusation. Elle a également été relaxée sur le second chef d’accusation à 83% des voix. Trois mots clé pour dresser le bilan de l’événement selon Daniel Luciani :« drôle, sincère et émouvant ». L’association Ressources Humaines sans frontières était présente avec des ouvrières malaysiennes qui ont pu témoigner du rôle de la RSE dans l’amélioration de la chaine de valeur.
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